Par exemple, on ne peut pas comparer celui de l’ASM, propriétaire de son stade, ce qui lui coûte
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1,5 millions d’euros par an en remboursements et frais de
fonctionnement, avec celui du Racing, hébergé à Colombes. Il ne s’agit
pas de se plaindre, ni de faire de la provocation. Juste de relativiser
les chiffres bruts qui font de l’ASM le 2ème club le plus riche de
France, derrière le Stade Toulousain, avec 20,95 millions de budget. Je
me rends compte, tous les jours, sur le marché des transferts, que ce
n’est pas le reflet conforme de la réalité. L’ASM n’a pas les moyens de
surenchérir par rapport au Racing, à
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Toulon, à Bayonne ? Ce n’est pas notre stratégie. Nous voulons
préserver une politique salariale cohérente. Sous l’influence des agents
de joueurs, le marché des transferts est en train d’exploser. Je
préfère laisser filer un type à Bayonne ou à Toulon que de devoir
expliquer à notre capitaine Aurélien Rougerie, 60 sélections en équipe
de France, jaunard jusqu’au sang, qu’on a fait venir tel ou tel joueur
avec un salaire 50% supérieur au sien. Quel est le salaire moyen d’un
joueur à l’ASM ? Je ne le dirai pas. De toute façon, c’est comme pour
les budgets, ça n’a aucune signification. Aujourd’hui, les salaires
déclarés par les clubs ne traduisent qu’une part de vérité. Il faut
tenir compte des avantages en nature et des droits d’image payés par des
partenaires
sac Ed harby pas cher en échange de prestations commerciales.
C’est
tout à fait légal, mais ça fausse considérablement les perspectives.
Que pensez-vous des attaques dont vous faites l’objet, vous et votre
club ? C’est la rançon de notre titre de champion de France. Jusqu’à
l’an dernier, tout le monde nous trouvait formidablement sympathiques.
Avec le bouclier, l’ASM a changé de statut. Aujourd’hui, nous sommes
attendus au tournant, un peu jalousés. A tout prendre, il vaut mieux ça
que l’inverse.Comme le veut l’adage du café du commerce: « En sport,
tout va très vite ». En l’espace d’un week-end de Coupe d’Europe, le
rugby français a retrouvé du lustre. Le Racing, Perpignan et Toulon se
sont imposés, sans coup férir, face aux meilleurs clubs anglais de
Premiership. L’ASM a dominé le Leinster dans un match qui n’avait rien à
envier au joutes du Super 14. Et Toulouse a fait le métier à Glasgow.
De quoi oublier l’Australo-piquette du Stade de France pour la plupart
des internationaux revenus au bercail et à leurs automatismes
parfaitement huilés. Aujourd’hui, Damien Traille doit se sentir bien
seul. C’est peu de dire que l’ancien trois-quart centre prodige des
années Laporte traverse un douloureux automne rugbystique. Contrairement
à ses équipiers tricolores, le Biarrot n’a même pas pu compter sur son
club, en goguette à Viadana (Italie), pour se refaire un moral à peu de
frais. Les Basques, venus chercher le bonus offensif en Lombardie, se
sont fait châtier par des Aironi ( Hérons) remontés comme des coucous en
défense et habiles en contre.