A moins que Lièvremont ne réquisitionne Bernard Henri Lévy dans son staff. Dans le Point de la semaine dernière, le
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grand philosophe a déclaré sa flamme pour le rugby, ce sport où « la
main n’a le droit d’aller que de travers, et seul le pied peut attaquer,
pour tirer le jeu vers l’avant ». Avec de tels préceptes, il est déjà
en pleine harmonie avec le jeu du XV de France. A part ça,
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14. A ce qu’on nous dit, Max Guazzini a du mal à retrouver la main au
sein de son propre club. Les anciens de l’équipe n’ont toujours pas
digéré le coup de torchon humain de l’an dernier. Pour tenter de
fidéliser le public à Charlety, face à l’attractivité du Racing de
Chabal, Max a exigé que ses ouailles viennent servir des bières, après
les matchs, à la bodega des supporters. Il semble que les joueurs
renâclent de plus en plus à s’exécuter. Le salut du Stade Français
passe, plus que jamais, par le terrain.Il y a longtemps que le patron du
Saint-Georges (22 rue Saint-Lazare, Paris 9ème) n’a pas enfilé son
maillot du XV de France pour servir l’aligot à ses clients, et c’est
mauvais signe. Après un Grand Chelem dans le Tournoi des VI nations qui a
soulevé plus d’interrogations que d’enthousiasme, les récentes
victoires face aux Fidji et à l’Argentine n’ont pas permis d’y voir
beaucoup plus clair. Et la France du rugby qui avait les yeux de l’amour
pour Lièvremont commence à s’agacer doucement de son image de Marc,
laborantin inlassable d’une alchimie offensive qui tarde à produire son
étincelle.
Toutes ces querelles vont trouver leur dénouement,
samedi soir, au Stade de France. Au théâtre, on appellerait ce match
contre l’Australie, la « couturière », l’avant-dernière répétition avant
les trois coups. Certes, la Coupe du Monde n’est pas pour après-demain,
mais pour septembre 2011. N’empêche, à l’exception du prochain match du
Tournoi contre l’Angleterre, le XV de France ne trouvera pas de toise
plus fiable pour mesurer ses ambitions sur la route de Christchurch. Les
Wallabies ne sont pas nés avec le talent des All Blacks mais ils ont
plus d’un tour dans leur poche et, avec les Anglais, ils peuvent briguer
la place de numéro 2 mondial. Leur jeu fluide, ouvert, toujours égal
est un étalon rêvé pour les équipiers de Thierry Dusautoir. On ne bat
pas l’Australie avec une bonne mêlée et un buteur en réussite. Il faut
quelque chose en plus. Samedi, on saura si les Bleus possèdent ce
supplément d’arme. Deuxième ligne de devoir et philosophe ariègeois de
nature, Fabien Pelous a lâché une vérité, mardi soir sur le plateau des «
Specialistes », en rappelant que si quelques équipes pouvaient se
targuer d’avoir battu les Argentins, à l’instar du XV de France le
week-end dernier à Montpellier, aucune d’entre elles _ et même les plus
brillantes_ n’avait jamais réussi à développer contre les Pumas un jeu
spectaculaire. L’ancien capitaine des Bleus jugeait la prestation de ses
successeurs plutôt encourageante.
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