Et ce n’est pas la décision prise par le Président Bacescu d’augmenter
les salaires et retraites des enseignants en plein milieu de
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la campagne électorale qui va arranger la situation économique du pays.
La Roumanie peut trouver sa place en Europe, à une condition: que ses
dirigeants en effet retrouvent l’estime des citoyens et qu’ils les
servent, sans penser à leurs intérêts propres, en cette période si
dangereuse pour une Europe qui s’est bâtie sur le marché. L’adoption par
le Conseil des ministres de l’Union européenne le 27 novembre 2008 du
troisième "Paquet télécom" – soit diverses mesures sur la téléphonie et
l’internet – n’a pas donné lieu à beaucoup de commentaires en dehors de
la presse économique. C’est dommage. Voilà l’exemple même de ce que peut
faire l’Europe pour faciliter la vie des citoyens, en mettant à leur
disposition dans tout l’espace européen et à un coût raisonnable un
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ensemble de biens et services. Le but des mesures télécoms est
clairement de créer un marché intégré des services de
télécommunications. Rien de plus opportun à un moment où la crise sévit
dans nombre de secteurs, même dans celui des télécoms mais à un moindre
degré. Téléphones mobiles et Internet sont en effet devenus, à l’instar
de la télévision voici déjà longtemps, des "biens de première nécessité"
au sens où les ménages préfèrent rogner sur d’autres dépenses, même
celles relatives aux vacances, avant de devoir renoncer à leurs
portables ou pour les plus jeunes à l’Internet (les deux devant de plus
en plus se conjuguer).
Donc l’Europe se préoccupe, en faisant
tomber les frontières entre Etats, de booster les opérateurs sur le
marché en aiguisant la concurrence. Mais elle s’intéresse en fait
prioritairement au sort des consommateurs
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en contraignant ces opérateurs à baisser leurs prix. Parmi les
décisions prises le 27 novembre dernier, on peut citer une meilleure
réallocation des fréquences libérées du fait du passage de l’analogique
au numérique, mais aussi toute une série de prescriptions pour plafonner
le prix des communications téléphoniques (nous pourrons envoyer des SMS
à 11 centimes d’euros au lieu de 29!) et le prix des transactions
d’Internet sur le téléphone mobile, tout ceci sans que le caractère
transfrontière de ces communications puisse être pénalisant. Les
ministres des Télécommunications ont été plus frileux que le Parlement
et la Commission européenne, c’est vrai. Mais ils sont allés de l’avant
et se sont mis d’accord à l’unanimité, ce qui n’était pourtant pas
requis par le traité. Et puis, même les pays comme la France qui ont des
opérateurs historiques dominants - par exemple France-Télécom – ont
tout de même admis un renforcement du contrôle européen de l’application
des règles de concurrence. Le "superviseur européen" au pouvoir
décisionnaire, ce n’est pas pour maintenant, en dépit de ce qu’aurait
souhaité Viviane Reding, Commissaire européen à la société de
l’information et des médias.
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