De quoi attendre avec impatience la prochaine connexion. Et vous,
Cataclysm vous a-t-il fait replonger? Que pensez-vous de vos débuts sur
ces nouvelles terres?Mon point faible, c’est les jeux de rôle. Plus
c’est customisable et fantastique et plus je craque. Alors, forcément,
Fable III a titillé ma curiosité. J’avais entamé le II avec
enthousiasme, j’ai dévoré le III. Comme dans les deux épisodes
précédents, vous incarnez un
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héros médiéval appelé à faire des choix qui le tirent du côté du bien
ou du mal, altérant son apparence physique et aussi bien que sa
réputation. La spécificité de ce troisième opus? Un scénario qui se
scinde en deux étapes très différentes:Chasser du trône d’Albion un
frère tyrannique pour prendre sa place.Une fois coiffé de la couronne,
gérer la situation d’un royaume en péril. En clair: maintenir les
finances à un niveau correct sans se faire lyncher par la
population.Vous voilà face à de cruels dilemmes: faut-il construire une
station d’épuration terriblement onéreuse ou continuer à déverser ses
déchets sur le petit village hippie à côté du château?
Bien des
joueurs auront hésité. Pas moi! Puisque tout n’est qu’une question
d’argent, j’ai décidé de faire comme tout bon escroc magnat qui se
respecte: j’ai misé sur l’immobilier. J’ai acheté, une à une, toutes les
maisons et les boutiques du royaume, transofrmant mon Fable III en Sim
City-like. Il m’a suffit de veiller à l’entretien des habitations. J’ai
également maintenu les prix des commerces à un niveau moyen et hop!
Voilà mes finances au beau fixe. Et, en alimentant la trésorerie
d’Albion avec les fonds de mes placements personnels, ma réputation
auprès de la populace a grimpé en flèche. Gniak.Satisfaite de mon petit
stratagème, j’ai bouclé le jeu en tant que sauveuse du monde connu sans
grande difficulté. Mouais. Captivant, certes. Les cinématiques, les
paysages, les ambiances m’ont transportée. Mais au niveau challenge,
c’est un peu raté. Surtout que le système de combats reste suffisamment
simple pour qu’une boulette comme moi
lunettes Burberry pas cher puisse terminer le scénario principal sans mourir.
Juste une – très – jolie Fable, finalement.Deux DS, une PSP, un iPad et deux iPhone. Pas parce qu’on part en vacances
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qu’on doit manquer de plateforme pour jouer. Et ce n’est pas Claude,
mon petit cousin de 10 ans embarqué pour l’occasion, qui prétendra le
contraire: Notre top pour combler les heures creuses à l’aéroport? En
multijoueurs, Bomberman et Mario Kart ont notre préférence pour nous
échauffer. Entre deux portes, j’enchaîne les niveaux à Plants VS zombies
sur iPhone, qui réussit la bonne alliance entre mini-jeu et aventure
grâce aux nouveautés débloquées à chaque victoire. Dans les files
d’attente, les voitures de Trafic Rush m’aident à tromper l’ennui. Une
fois dans l’avion, place aux RPG, Final Fantasy III, Pokémon ou Star
Ocean: en quatre heures de vol, on a bien le temps de venir à bout d’un
donjon. De quoi renouveler l’adage: les voyages forment la geekesse,
non?
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