A part leurs origines catalanes d’où un certain entêtement?, Lièvremont n’est pas
sac Juicy pas cher du genre à noyer son spleen dans les arrière-salles des tournois de poker.On le voit plutôt méditer lors
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de grandes balades en solitaire sur la plage des Cavaliers, à Anglet,
fouetté par la critique et les embruns portés par le vent d’Espagne. Sur
le plateau
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des Spécialistes, mardi soir Canal + Sport, il a encore fait preuve
d’une grande dignité dans la débâcle. Pilonné par un Jean-Pierre
Elissalde plus saignant qu’un junior, le coach a renouvelé sa confiance à
Maso, Ntamack, Retière et chacun des joueurs de l’équipe de France. Le
problème, c’est que tout le monde s’est focalisé sur l’implosion des
Bleus après la 60ème minute. « Jusque là, on était dans le coup… » a
martelé Lièvremont, sans être démenti. C’est oublier, un peu vite, que
les Australiens auraient pu mener de 15 points à la mi-temps, s’ils
avaient voulu tenter les pénalités au lieu de continuer à jouer les
avantages. C’est oublier que les Australiens ont joué ce match comme ils
jouent tous leurs matchs depuis deux ans: avec la seule obsession
d’envoyer du jeu et de peaufiner leurs réglages en vue de la Coupe du
Monde. Dans le camp français, faut-il déjà se résoudre à préparer la
Coupe du Monde 2015? On est tenté de le croire. A moins que Lièvremont
ne réquisitionne Bernard Henri Lévy dans son staff.
Dans le Point
de la semaine dernière, le grand philosophe a déclaré sa flamme pour le
rugby, ce sport où « la main n’a le droit d’aller que de travers, et
seul le pied peut attaquer, pour tirer le jeu vers l’avant ». Avec de
tels préceptes, il est déjà en pleine harmonie avec le jeu du XV de
France. A part ça, derby Racing-Stade Français, demain, en Top 14. A ce
qu’on nous dit, Max Guazzini a du mal à retrouver la main au sein de son
propre club. Les anciens de l’équipe n’ont toujours pas digéré le coup
de torchon humain de l’an dernier. Pour tenter de fidéliser le public à
Charlety, face à l’attractivité du Racing de Chabal, Max a exigé que ses
ouailles viennent servir des bières, après les matchs, à la bodega des
supporters. Il semble que les joueurs renâclent de plus en plus à
s’exécuter. Le salut du Stade Français passe, plus que jamais, par le
terrain.Il y a longtemps que le patron du Saint-Georges 22 rue
Saint-Lazare, Paris 9ème n’a pas enfilé son maillot du XV de France pour
servir l’aligot à ses clients, et c’est mauvais signe. Après un Grand
Chelem dans le Tournoi des VI nations qui a soulevé plus
d’interrogations que d’enthousiasme, les récentes victoires face aux
Fidji et à l’Argentine n’ont pas permis d’y voir beaucoup plus clair.
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