D&g Collier pas cher Jane Austen

Pour nous les vieux, il ne reste plus que Carlitos Santana, se dit le vétéran et il se souvint d'un autre vétéran qui, tout en lui servant du vin quarante ans plus tôt, avait eu la même idée, à une différence près, celle du nom.Pour nous les vieux, il ne reste que Carlitos Gardel, à la santé du Coach porte monnaie pas cher Morocho, avait alors soupiré D&g bracelet pas cher son grand-père en regardant avec nostalgie le vin couleur de rubis. Et c'est tout, se rappela le vétéran. Le lendemain, le grand-père s'était fait sauter la cervelle avec un Smith & Wesson, calibre 38 spécial, un flingue qu'il avait gardé pendant des décennies toujours propre, bien graissé, avec les six projectiles dans le barillet et enveloppé dans un morceau de feutre grenat résistant à l'humidité, aux mites et à l'oubli.Raison et sentiments sont joués par deux soeurs, Elinor et Marianne Dashwood. Elinor représente la raison, Marianne le sentiment. La raison a raison de l'imprudence du sentiment, que la trahison du beau et lâche Willoughby, dernier séducteur du XVIIIe siècle, rendra raisonnable à la fin. Mais que Marianne est belle quand elle tombe dans les collines, un jour de pluie et de vent.Je ne sais pas qui est la personne responsable de cette quatrième de couverture, mais elle mériterait d'être lapidée d'oeufs en place publique. Voici comment trahir un roman qui essaie de défendre une théorie inverse au résumé.

Car bien sûr, D&g Collier pas cher Jane Austen, dans ce roman, joue sur la caricature initiale des deux soeurs : Elinor est un peu trop sage et sensée, Marianne un peu trop émotive et spontanée. Cependant, il ne faut pas beaucoup de temps au lecteur pour se rendre compte que les deux personnages représentent le mélange adéquat pour appréhender l'amour, le vrai, l'unique. D'ailleurs, ces deux soeurs peuvent être perçues comme une ébauche du personnage d'Elizabeth Bennet de Orgueil et préjugés, qui sait si bien évoquer ses sentiments fulgurants avec un recul tout anglican.Dans Raison et sentiments, Jane Austen raconte donc les déboires des soeurs Dashwood avec leurs amants (au sens obsolète du terme) respectifs. Alors que Elinor s'engage dans une relation si non platonique, du moins "intellectuelle" avec Edward Ferrars, Marianne s'amourache fougueusement du jeune Willoughby, charmeur invétéré vivant chez sa tante. Et autant dire qu'à l'époque, ce n'était pas facile de se trouver un jules. Alors que Ferrars ne veut apparemment pas s'engager pour des raisons mystérieuses, si tant est qu'il soit vraiment amoureux d'Elinor, ce dont elle doute au vu de son manque d'expression sentimentale, Willoughby, lui, ne semble pas vraiment le gendre idéal, profitant de la naïveté.
Par niketnpascher le lundi 25 juillet 2011

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